Passionnée de voyages et d'aventures, Anaïs a quitté son travail dans l'organisation d'événements culturels à Rennes pour voyager. Curieuse, toujours en quête de rencontres et de découvertes, elle aime capturer l'atmosphère de ses voyages à travers l'écriture.
Chaque année, ils sont près de 210 000 à séjourner en Australie, munis du précieux visa permis vacances-travail (PVT) ou Working Holiday Visa (WHV). Celui-ci permet de travailler pendant un an sur le territoire australien. Il est renouvelable une deuxième année à condition de justifier de 88 jours travaillés dans l’outback ou le bush, c’est-à-dire les régions isolées, en zone rurale agricole. A partir de juillet prochain les backpackers pourront désormais rester jusque 3 ans dans le pays, mais seulement s’ils sont employés au moins 6 mois dans des régions rurales agricoles.
Alors que l’Australie assouplit sa politique d’immigration pour répondre à un besoin de main-d’œuvre agricole important, je suis allée à la rencontre des principaux concernés.
Publié sur le site Noctambule, média local indépendant, cet article est le premier d’une série de reportages et portraits sur le sixième continent. Anaïs part à la rencontre de femmes et d’hommes migrants en Australie. Le voyage est abordé sous l’angle de la rencontre, de l’immersion, de la considération de l’Autre pour un meilleur vivre ensemble.